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T. de Clisson | 17 avril 2015
Si vous étiez au salon e-marketing & stratégie clients vous savez déjà qu’il y avait de nombreuses conférences plénières traitant des thèmes actuels dans les domaines.
Une conférence au titre assez vendeur qui donne envie d’en savoir plus. Knowesia y était et je vais vous faire mon retour sur cette conférence très intéressante.
Au vu du nom de la conférence on peut s’attendre à une confrontation d’idées et de différents partis pris sur les origines et raisons au Big data.
D’ailleurs, les premières questions qui ont été posées à l’audience sont : « Pensez-vous que le Big data est une supercherie ? » « Qui pense que le Big data est une avancée technologique ? »
Très peu de gens prononcés dans le public et de toute façon, il n’y a pas eu de débat sur ce point car dès le départ on commence à entendre différents professionnels sur l’exploitation des datas dans leur entreprise. On induit donc par là le fait que le Big data, (les datas, les données, les smarts datas, les values datas, peu importe leur appellation) sont une réalité…
Voici quelques points abordés dans cette conférence.
Selon Jérôme de LABRIFFE – Directeur « valeur data » BNP, « il n’y a pas de Big data. Il y a juste des datas ». Des données que nous créons chaque jour et qui transitent à travers nos systèmes. Cela fait 2 ans que les datas sont au cœur de nos problématiques et stratégies et pourtant elles ne sont pas juste apparues à un moment donné. Elles ont toujours existé et c’est uniquement notre prise de conscience du potentiel qu’offrent les données, qui est né, et qui s’est amplifié au cours du temps.
Les professionnels donnant la conférence préfèrent parler ici de données qualifiées et de données non qualifiées.
Les données qualifiées représentant celles que l’on collecte directement auprès du client ou du prospect et qui s’avèrent sûres. Elles sont exactes et ont une vraie valeur. Elles sont échangées volontairement car elles sont enregistrées lors d’une commande en ligne ou d’une demande d’informations par exemple.
D’autre part les données non qualifiées sont par exemples générées par les réseaux sociaux et l’on ne peut pas toujours vérifier leur pertinence. On parle ici d’Opens datas car elles sont consultables librement.
Je pense effectivement comme ces professionnels qu’il est plus important de considérer la différence qui s’impose entre données qualifiées ou non. Aujourd’hui la frontière qui sépare les Opens data et le Big data est je pense, une question de confidentialité des données : celles qui sont librement accessibles, celles qui sont collectées directement et celles que l’on obtient par du forage de données. Les Opens datas est une partie du Big data. La principale problématique des entreprises désirant exploiter des données, est alors la pertinence de celles-ci.
Le Big data est dans un cercle vertueux, qui, s’il est bien exploité, s’avère être une source de gain potentiel.
La data n’est pas 1 mais 5 phases, qui sont :
La vraie valeur est en fait la transformation d’une étape vers l’autre. Par conséquent, il est nécessaire de trouver le meilleur système pour exploiter les données.
C’est très onéreux. Travailler les données pour les valoriser et obtenir des résultats, nécessite de l’intelligence, l’outil et de la réflexion. Le Big data n’a rien à voir chez BNP ou avec celle de l’entreprise Kia et pourtant ils peuvent être clients de l’un et de l’autre. Le traitement doit être effectué de façon stratégique en fonction de la nature des données et de leur utilisation.
Le Big data est en train de créer une mutation des métiers et d’en créer de nouveaux. Les plus grandes entreprises crééent des équipes avec des postes dédiés aux datas.
Exploiter les données peut se faire de différentes façons selon Fabien VERSAVEAU – directeur marketing digital Figaro : soit dans les différents services soit avec une équipe dédiée regroupant l’ensemble des compétences nécessaires. Le dernier choix, étant le choix fait par le Figaro.
Une équipe dédiée à l’exploitation des datas devrait alors regrouper, de l’IT, du web analyse, du CRM, des pilotes Chefs de projets et des stratégiques.
Il faut :
Thibault de Clisson est le fondateur de Knowesia, éditeur spécialisé dans la gestion intelligente du knowledge et des process, racheté par EasyVista en 2017. La solution Knowesia a été implémentée dans 50% des entreprises du CAC 40, dans le cadre de projets de Selfcare ou Guided Work. Knowesia a reçu les prix Gartner Cool Vendor et FinTech. Très orientée ROI, la solution permet d'optimiser les activités de support utilisateurs et de mettre en œuvre une transformation digitale en mode collaboratif. Au préalable, Thibault était Senior Vice-Président EMEA du groupe Infor et Directeur Général EMEA du groupe Datastream.
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