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A. Bentz | 22 avril 2022
La lutte contre le dérèglement climatique constitue, aujourd'hui, un enjeu clé. Le dernier rapport du GIEC publié début 2022 ne fait que le rappeler. Non seulement le changement climatique est plus rapide que prévu, mais en plus, ses effets sont irrémédiables sur la disponibilité des ressources en eau et en nourriture, sur l'impact sur la santé dans toutes les régions du monde et sur la baisse des aires de répartition des espèces animales et végétales.
Face à cette situation, chacun a un rôle à jouer, particuliers comme entreprises. Dans les organisations, la question de l'impact carbone de l'informatique est de plus en plus prégnante et a donné lieu à un mouvement de fond baptisé green IT, ou comment devenir un DSI responsable et durable.
Consommation électrique des serveurs, impact carbone des emails et des pièces jointes, du cloud et de la messagerie instantanée, renouvellement des téléphones et des ordinateurs… ce sont autant de leviers disponibles pour les DSI afin de jouer un rôle dans l'impact technologique sur la nature. Le green IT consiste donc à élaborer et mettre en place une stratégie pour limiter l'impact de l'informatique sur le climat.
Prenons l'exemple des smartphones qui sont utilisés tous les jours par les salariés - et encore plus avec le travail hybride et pendant les déplacements. Ils contiennent tous des terres rares telles que l'or, l'argent, le platine, le palladium, l'yttrium ou le lithium, ce qui en fait l'un des produits les plus gourmands en ressources de la planète. L'extraction de ces matériaux est principalement alimentée par le pétrole, ce qui contribue à des émissions de carbone élevées.
En outre, les smartphones représentent 11 % de l’empreinte globale du numérique et une étude du Bureau européen de l'environnement soulignait que leur impact climatique en Europe était de 14,2 millions de tonnes de CO2 par an. Autant de données qui doivent pousser les entreprises à davantage de sobriété numérique.
Le problème est qu'une étude de CapGemini révélait que l'informatique durable (ou green IT) n'est pas une priorité pour la plupart des entreprises. Seuls 43 % des dirigeants sont conscients de l'empreinte informatique de leur société. Et si la moitié des entreprises ont mis en place une stratégie de développement durable à l'échelle du groupe, seules 18 % d'entre elles en ont une complète et détaillée, avec des objectifs et des délais bien définis.
En outre, 49 % ne disposent pas des outils nécessaires pour adopter et déployer des solutions et 53 % manquent d'expertise. Le green IT permet justement d'appréhender ce virage à l’échelle de l’entreprise et de la société, afin d'amorcer la transition écologique. Cela passe par des changements en interne, au sein de votre organisation, mais aussi par le choix de prestataires et de fournisseurs plus vertueux et transparents en matière d'écologie.
C'est le 22 avril que se célèbre le jour de la Terre. Cette initiative a vu le jour le 22 avril 1970 au Wisconsin grâce à une manifestation organisée par des étudiants et le sénateur de l'État. Un an plus tard, l'Organisation des Nations Unies s'empara de l'événement destiné à sensibiliser à l'environnement et déclara que le 22 avril devenait officiellement le jour de la Terre.
Derrière cet événement symbolique se cache surtout la possibilité de valoriser de nombreuses actions pour lutter contre le dérèglement climatique. Aujourd'hui, cette question est dans tous les esprits. C'est la raison pour laquelle Easyvista s'implique dans une démarche de Green IT afin d'accompagner ses clients à profiter de solutions pour mettre en place, à leur échelle, une approche plus durable.
L'informatique durable et responsable est bonne pour la planète, pour vous, mais aussi pour vos clients. En vous engageant clairement dans cette démarche de manière sincère et altruiste, vous pouvez ainsi contribuer à faire bouger les lignes, à vous positionner clairement sur un sujet critique, à améliorer votre image de marque et à jouer un rôle d'évangélisation sur cette question. Grâce aux solutions d'EasyVista, voici en 3 points ce que vous pouvez faire :
L'ITSM n'est pas qu'une plateforme technique ou informatique. C'est aussi un état d'esprit où l'expérience prime et où l'importance du service rendu peut tout changer. Et quel meilleur service à rendre pour notre planète que de s'investir dans une démarche IT durable et responsable ?
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Amélie Bentz est Marketing Director France chez EasyVista. Elle a rejoint le groupe en 2017 avec plus de 15 ans d’expérience en marketing dans le secteur IT au sein de cabinets de conseils et d’éditeurs de logiciels internationaux. En étroite collaboration avec la Direction Corporate Marketing d’EasyVista basée aux Etats Unis, Amélie a aujourd’hui en charge le pilotage de la stratégie et de l’exécution des activités marketing et communication pour la France, afin de soutenir la croissance de l’entreprise et son positionnement en tant qu’éditeur français leader sur le marché de l’ESM et du Self Service.
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